Tyrell Cerulean Marchand d'armes
Messages : 8 Date d'inscription : 04/06/2013
Fiche personnage Métier: Allégeance: Classe:
| Sujet: Tyrell Cerulean : Promotion flash sur les épées, -20% sur toute la gamme débutant ! [Fiche terminée] Mar 4 Juin - 19:54 | |
| Personnage
Cerulean Tyrell Sexe : Masculin.
Âge : Vingt-quatre ans.
Race : Humain.
Allégeance : Guilde des marchands
Classe : Négociateur – On dit que la plume, parfois, peut vaincre l'épée. Ce sera souvent le cas si vous faîtes face à un négociateur. Fin stratège et habitué des joutes verbales, il sera votre homme (ou elle sera votre femme, d'ailleurs) pour acheter, marchander, soudoyer, tirer les vers du nez, bluffer, convaincre, et autres joyeusetés intellectuelles. Ne comptez pas sur lui pour savoir se battre aussi bien qu'un Chevalier ou un Barbare, bien qu'on lui connaisse généralement d'excellentes aptitudes à la fuite. Avec une attitude pareille, bien évidemment, leur sens de la morale n'est pas toujours au beau fixe ; mais cela ne fait pas non plus d'eux des mécréants.
Métier : Marchand d'armes itinérant.
Compétences et pouvoirs : S'il devrait pouvoir défendre sa vie contre quelqu'un d'aussi peu entraîné que lui, Tyrell reste avant tout un marchand habitué de la négoce et des palabres. Il est bon dans son métier, ce qui lui vaut le respect de sa Guilde et de ses pairs. La vie itinérante lui a appris à parler à chacun à la mesure de ses oreilles, et il ne s'en prive pas. Il est redoutable aux jeux de plateaux, tels que les dames ou les échecs, et possède tout une connaissance experte de son domaine de prédilection (les armes blanches, bien qu'il s'intéresse également à la technologie naine).
Équipement : Peu de choses, en vérité : un boulier pour faire ses comptes, plusieurs bourses élégamment cachées entre ses vêtements, un écritoire portatif, quelques plumes et parchemins, un briquet à amadou, une ou deux torches, un vieux rouleau de corde qui traîne au fond de son sac, des couvertures quand les nuits sont froides, deux gourdes de cuir, un petit nécessaire de cuisine, un de couture, quelques éléments d'une trousse de premiers secours... et une charrette d'armes tirée par un cheval.
Description physique : [i]Tyrell, c'est d'abord des bottes et des vêtements d'excellente facture, et des tenues qui s'accordent selon les saisons. On le verra souvent sur les routes, parfois à sa boutique et plus rarement à la guilde des marchands, mais toujours impeccablement habillé pour l'occasion. En hiver, ce sera des bottes de cuir brun, des chausses de laine ocre sur un pantalon de lin, et une épaisse surcote bordeaux, ambre ou brune sur une tunique de lin ou de coton. N'oublions pas la cape – il en possède plusieurs – les gants, les toques, les chapeaux et les bonnets, les petits chaussettes à motif Schtroumpfs, les écharpes de soies et de brocards, et toutes sortes d'accessoires dont on verra se vêtir l'homme de bon goût. Le printemps et l'été seront l'occasion de couleurs plus vives, de rouge, de vert et de bleu, dans des tenues plus légères et aux manches écourtées, sans cape ni bonnet. Quant à l’automne... Ah, l’automne ! L’automne révèle toute la splendeur vestimentaire de Tyrell. Si on peut arguer que les lumières printanières rehaussent mieux son tain, ou que les ciels d'hiver s'accordent mieux avec ses yeux, c'est sans doute l'automne et son chatoiement de feuilles d'or et de sang qui lui permettent de s'afficher dans des tenues noires rehaussées d'or ou blanches aux liserés d'argent du plus bel effet.
Vous l'aurez donc compris, Tyrell est du genre bien sapé. S'il ne sacrifie pas la praticité à la coquetterie, il reste conscient de l'importance des apparences. Celle d'un marchand doit inspirer la confiance, et l'envie d'acheter ; mais celle d'un marchand d'armes itinérant doit aussi largement laisser sous-entendre de ses capacités à se servir de sa propre marchandise. Il se maintient donc autant en forme qu'il peut ; hélas, c'est peine perdue. Il a beau avoir des yeux d'un bleu profond et pur, une chevelure d'un blond tirant sur le doré, et une peau diaphane qu'une quantité astronomique de crème protège du vent et du soleil... De longs cils de fille, un petit nez pointu, des pommettes plates mais des joues charnues, un cou un peu long, et une pilosité qui refuse catégoriquement de se développer en autre chose qu'un duvet soyeux et tout à fait ridicule : c'est officiel, Tyrell n'est pas aidé. Il aimerait se voir pousser une barbe fournie et des sourcils de barbare, mais se voit obligé d'adopter un look de jeune premier à peine sorti de la nursery. Rien à faire, Tyrell garde cet air poupon qui fait la joie des dames un peu âgées de sa famille.
Description psychologique : De l’œuf ou de la poule, on se demande souvent qui est arrivé le premier. Dans le même ordre d'idée, il est difficile de déterminer lequel, du naturel de Tyrell ou de sa profession, a eu une influence prédominante sur la formation de son caractère actuel. Le jeune homme a-t-il décidé d'être marchand par intérêt pour la nature humaine, par curiosité pour la diversité des paysages, par admiration pour l'éclat de l'acier ? Ou bien l'exercice de son activité a-t-il développé en lui ces aspirations ?
Ces considérations abstraites ne nous éclairant guère, éloignons-nous en un court instant afin de nous intéresser aux manifestations concrètes de la personnalité de Tyrell. Au premier abord, le blondinet est quelqu'un de tout à fait poli et serviable. Il aura à cœur de se montrer sympathique et avenant, prenant plaisir à marchander et à fidéliser le client par divers ristournes et autres petits signes d'amitié.
Tyrell vendra à tous ceux qui voudront acheter : les bons comme les mauvais, les guerriers en armure, les elfes du chaos, les samuraï ronins, la garde de Sa Majesté, les tueurs en série et le boucher du quartier. Tous, il les accueillera avec sourire et amabilité ; et ceux-ci seront sincères, car la mission que s'est donné Tyrell n'est pas forcément d'augmenter son chiffre d'affaires – celui-ci se porte très bien, merci – mais de trouver, pour chaque lame, pour chaque arc, pour chaque lance et pour chaque masse, en un mot, pour chaque arme, la main qui lui convient. La main qui la tiendra fermement, et l'élancera vers de belles choses ; vers des actes de gloire, vers le long et pénible travail de toute une vie, vers la rébellion, vers la salvation, vers la guerre et vers la paix ; vers des actes grandioses, vers des actes terribles, mais, quelque que soit leurs natures, vers des destins exceptionnels. (Et si, en changeant la face du monde, une épée après l'autre, il peut garnir son coffre d'or et de gemmes rares et précieuses, il ne va bien entendu pas s'en priver).
Prétendons-maintenant que, ayant passé le masque du commerçant amical, vous ayez, cher lecteur/chère lectrice/escargot de l'espace, pénétré dans son cercle intime. Je veux bien entendu dire que vous soyez devenu son ami, espèce de pervers. Et arrêtez de le reluquer comme ça, je vous ai à l’œil ! Non, mais. Bref. Reprenons. Le vieil adage dit qu'être l'ami de tout le monde, c'est n'être l'ami de personne. C'est sans doute vrai dans le cas qui nous préoccupe. Si Tyrell connaît énormément de monde, il n'a que très peu d'amis proches. On peut dire qu'il leur est fidèle et agréable autant qu'il le peut. En règle générale, il n'est d'ailleurs pas du genre à reprendre une parole donnée.
Son cercle social s'étend sur plusieurs corps de métiers, des mineurs aux joailliers en passant par les forgerons et les aventuriers, sans oublier les facteurs d'arc et les monteurs de bouclier. Et ces contacts se déclinent en une multitude de relations à des degrés de confiance et d'intimité divers. Il faut dire que son style de vie ne lui permet pas mieux, et se révèle être un véritable désastre lorsqu'il lui arrive de tomber amoureux.
Fort heureusement, cela n'arrive que très rarement. Tyrell entretient un certain nombre de bluettes étendues sur tout le pays ; de sorte qu'il ne dort pas toujours à l'auberge ou dans sa charrette. C'est un prétendant des plus attentionnés et des plus romantiques, si on oublie qu'il faut le partager avec tous le pays.
Lorsqu'il n'est pas entrain de compter fleurette ou ses bénéfices, on le trouvera généralement un livre à la main, se renseignant sur divers sujets, principalement liés à la facture d'armes ou de vêtements. Il aime aussi partager histoires et anecdotes avec d'autres voyageurs sur les endroits qu'il a visité ou dans lesquels il compte se rendre.
Histoire : Notre histoire commence toujours avant notre naissance ; mais celle de Tyrell fait étrangement exception. Orphelin, abandonné à la porte de l'atelier d'un forgeron de village, il n'a jamais connu ses parents biologiques ni les raisons de son adoption. L'hypothèse la plus communément admise est que son père adoptif serait en fait son oncle, qui l'aurait prit sous son aile après que ses parents aient été exécutés pour banditisme. Afin de protéger son honneur et celui du petit, il l'aurait lui-même déposé devant sa forge avant de le faire découvrir par sa femme. Quoiqu'il en soit, le couple l'éleva comme s'il était un de leurs enfants. Si n'étaient les hasards de la génétique qui le firent le seul blond de la famille, et les commérages qui empoisonnèrent son enfance, Tyrell ne se serait peut-être jamais douté de rien.
Il grandit plutôt bien, cahin-caha, toujours fourré à la forge ; et s'il apprit vite les rudiments du métier, il ne fut jamais bon forgeron. Il n'avait tout simplement pas la masse musculaire requise pour ce genre de travail ; le calme placide du marteau qui s'abat sur l'enclume, la solitude du métal qu'on trempe à chaud... Il lui fallait du contact humain, une autre chaleur que celle des fourneaux. Et puis, Tyrell était joli-cœur, et, à quinze ans, faisait déjà des ravages parmi ces demoiselles (et ces damoiseaux). Pour le protéger de la fureur de pères, de grands frères et de fiancés, on l'envoyait souvent vendre les produits de la forge dans les villages alentours.
C'est grâce à ces voyages que Tyrell se découvrit un vif intérêt pour la vente et le commerce. La liberté de la route le grisait, et il convainquit rapidement son oncle de lui confier de plus en plus de petites missions de ce genre. Les fermiers voulaient des bêches, des pelles et des arrosoirs ; que tout cela était ennuyeux ! Mais de temps en temps, et de plus en plus, on lui demandait des dagues, des épées et même des pointes de lance et de flèche... N'était-ce pas plus excitant ? Tyrell s'intéressa de plus en plus aux armes, et délaissa progressivement les outils agraires. Sa petite affaire commença à se monter, et il partit un temps vivre à Elmirion. Il avait alors dix-neuf ans. Les deux ou trois premières années furent rudes, mais il finit par s'imposer comme une des valeurs sûres de la place des marchands. Jeune négociateur aux dents longues, il brique une place au conseil d'administration de la Guilde, mais sait se montrer patient. La curiosité aiguisée par de récentes rumeurs sur les armes naines, il a reprit la route l'an dernier. Un ou deux apprentis gèrent la boutique pour lui, et il parcourt à nouveau le Vindictus, toujours à la recherche de la meilleure marchandise et du client qui va avec. Hors-rp Comment avez-vous connu le forum ? Par un top-site Avez-vous des remarques à formuler le concernant, afin de l'améliorer ? Rien à signaler, si ce n'est que le code à copier (pour la fiche de présentation) n'est pas complet. (Il manque la partie hors-jeu et les balises ne sont pas toutes bien fermées). Ah, et d'autres joueurs, ça pourrait être bien, mais tout vient à point à qui sait attendre... Peut-être le forum pourrait-il être inscrit sur des annuaires comme Tour de Jeu ? |
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Garren L.Vortigern Roi du Gorbos
Messages : 360 Date d'inscription : 23/12/2012
Fiche personnage Métier: Roi des Hommes Allégeance: Royaume du Gorbos Classe: Premier chevalier
| Sujet: Re: Tyrell Cerulean : Promotion flash sur les épées, -20% sur toute la gamme débutant ! [Fiche terminée] Mar 4 Juin - 20:07 | |
| Bienvenue jeune marchand !
Une fiche complète, un style agréable et un personnage très ... Charismatique, j'aime ! Je te valide !
Edit : C'est cool de nous l'avoir fait remarquer, on va corriger ça de suite. x) Et pour les autres joueurs, ils viendront mais, en attendant, rien ne nous empêche de Rp ! |
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